Enquête : les Français et les pratiques collaboratives

Loin d’être un phénomène de mode, la consommation collaborative est amenée à se développer : la crise qui perdure et le développement des nouvelles technologies de l’information favorisent la recherche d’économies et d’échanges entre les personnes.

Ces nouvelles formes de consommation sont souvent vertueuses sur le plan environnemental quand elles permettent de réduire les consommations d’énergies et de matières premières (liées aux processus de fabrication de nouveaux objets par exemple), mais aussi les déchets (puisque les biens qui ne sont plus utiles ne sont pas jetés mais réemployés).

Illustration Conso Collaborative

Pour mieux comprendre ce phénomène, l’ADEME a fait réaliser – à partir des données de l’observatoire des modes de vie et consommation d’IPSOS : « Les 4500 » – une étude sur « Les Français et les pratiques collaboratives : qui fait quoi et pourquoi ? ».

Cet état des lieux de la consommation collaborative en termes de profils et de pratiques permet de mieux comprendre les usages de six pratiques plus ou moins répandues : l’adhésion à une AMAP , le covoiturage, la location de biens, le troc, la vente des biens et l’achat groupé.

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